Envie de tout plaquer ?

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Je me questionne

Posez-vous la question suivante : est-ce que j’ai déjà eu envie de tout plaquer ? 

J’approfondis

Aux États-Unis, depuis les années 2020, plus de 25 millions de salariés ont quitté leur travail. Et la tendance, qui s’est cristallisée avec la crise COVID, ne fait qu’accélérer.

Ce n’est pas un phénomène de mode, c’est une révolution qui s’opère dans le monde du travail américain, et qui arrive en France. Ce phénomène a un nom : c’est la Grande Démission, the #GreatResignation. 

Elle questionne des choses aussi essentielles que la valorisation du travail (rémunération, reconnaissance sociale), les conditions de travail (horaires, dureté, management), l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée et plus globalement le sens et la finalité du travail.

Face à ce phénomène qui met en jeu la ressource clef des entreprises, l’or noir des talents, on pourrait se dire que la mixité hommes-femmes ne pèse pas lourd. 

Nous pensons au contraire qu’elle est une boussole pour faire advenir les conditions qui favoriseront l’épanouissement et la fidélisation de tous les talents. Le taux de démission des femmes ou leur évaporation des postes à responsabilité reflète le gâchis de talents de l’entreprise. Les femmes représentent à peu près 50% de la population active, 40% des cadres et 20% des cadres supérieurs.

Il est le signe d’un grand péril alors même que toutes les cartes de l’emploi sont en train d’être rebattues. 

À l’inverse, de bons scores de fidélisation des talents féminins sont le signe d’une culture inclusive, qui permet aux entreprises d’être résiliantes face à ce péril de la grande démission. 

Mais quels sont les profils de jobs les plus concernés par la Grande Démission ? En quoi la mixité femmes-hommes est un sujet lié à ce phénomène ? Découvrez toutes ces réponses dans le podcast.

J’agis

Chez Companieros ce mois-ci, grâce à l’orchestration de Béatrice, directrice générale :